Si je comprends bien cela reviendrait à remplacer le commentaire de carte/documents par une dissertation sur programme? Si cela est le cas cela déplace le problème des historiens vers la géo: quel candidat sera motivé pour suivre l’entrainement au commentaire en géo si cela ne tombe qu’à l’oral?
ci dessous le message initial:
Quelques informations pour faire suite à la réunion de vendredi dernier à Ulm :
« Vous devez savoir que nos collègues historiens en AL sont très inquiets de l’effondrement de leurs effectifs en option histoire (- 1/3 à l’échelle nationale) ; je rappelle qui suite au sondage opéré par notre association, les effectifs nationaux sont stables en géographie. Nos collègues historiens se plaignent notamment de devoir préparer à un programme d’option qui ne peut tomber qu’à l’oral, ce qui ne motive pas particulièrement un grand nombre d’étudiants. Ils souhaiteraient donc un aménagement des épreuves, qui ne découplerait pas histoire / géographie mais redonnerait de l’air à l’option histoire, ce qui, en terme d’effectifs, est positif pour nos deux disciplines.
Voici la solution imaginée et à laquelle réfléchissent les historiens et les géographes de l’ENS, et sur laquelle je vous demande de vous prononcer (comme nos collègues historiens vont être conduits à le faire).
Les candidats auraient le choix à l’écrit entre option histoire (commentaire de doc, 6 heures, sur un programme annuel) ou option géographie (dissertation, 6 heures, sur un programme changeant chaque année, une année thématique, une année régionale mais incluant toujours, d’une manière ou d’une autre, la France). Tous les candidats devraient obligatoirement passer la géographie à l’oral (épreuve inchangée).
